La balistique tic tic...

A la rentrée paraîtra chez Caramba Publishing ! le premier volume pour smartphone de mon recueil de nouvelles Balistique du désir.
En guise d'amuse gueule voici la couverture. Son petite côté "vintage", évoquant les pulps des années cinquante n'est pas pour me déplaire, On annonce que chaque nouvelle bénéficiera d'un cabochon et de 2 ou 3 illustrations. J'imagine que les amateurs salivent déjà...!

La couverture est signée Berhart qui nous convie à suivre l'étape de sa réalisation sur son blog ICI

Ce volume sera téléchargeable le moment venu sur Izibookstore au prix imbattable de 0.79 € .

Le deuxième volume est déjà en préparation.

Comments

[Frédéric Prilleux]

Magnifique, Max !!! J'avais apprécié les nouvelles, je trouve ce nouvel emballage génial... Par contre, je reste réfractaire à la lecture sur écran, sous n'importe quelle forme. Alors, j'attends la
réédition papier sous cette superbe couv'.
Fred

[Max Obione]

Eh oui, que veux-tu, lire sur un écran de smartphone ce n'est pas très confortable... quand l'ipad sera généralisé comme peut l'être aujourd'hui la télé, avec un écran plus grand, ce sera plus
accessible à des praticiens non sectaires du papier. Cela dit, je reste persuadé que l'invention du livre papier est une invention supérieure au livre numérique : livre papier = légèreté,
disponibilité, durabilité, faible coût, fonctionnement sans consommation d'énergie, conservation, archivage, qualité d'affichage optimale, etc... bref énormément de qualités qui ne sauraient être
supplantées par l'informatique. Si le livre papier n'existait pas, son invention bousculerait beaucoup les certitudes des dingues de NTIC. On est dans une période grise où un nouveau média du
livre s'installe avec une pratique différente et sans doute de nouveaux lecteurs... Soyons attentifs, participons au mouvement, et examinons les effets !

[Jeanne Desaubry]

C'est qui la fille ? Audrey Hepburn ? Ava Gardner ? Mossieur Obione ne se refuse rien..

[Max Obione]

Pourquoi se faire du mal ? Je les aime bien roulées, ambiance whisky et petites pépées, et pour rester dans l'esprit des années cinquante (on a l'age de ses premiers émois) je citerais plutôt
Martine Carol avec ici une perruque brune.